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CRIET : Romaric BOCO en liberté provisoir contre 2million de Fcfa

Romaric BOCO recouvre sa liberté provisoire, ce lundi 06 Mai 2024, ordonnée par la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme  (CRIET)  contre une caution de 2 million de Fcfa. Le substitut du procureur spécial avait proposé un cautionnement de 5 millions de FCFA. Mais le juge a fixé le montant de la caution à 2 millions FCFA.  Il a été déposé en prison après sa présentation au parquet spécial le lundi 15 avril 2024 pour « harcèlement par le biais d’une communication électronique » suite à des messages envoyés en privé au ministre du cadre de vie, José Didier TONATO. Au cours des audiences précédentes, Romaric BOCO avait reconnu les faits qui lui sont reprochés et prêt à aller présenter ses excuses une fois de plus au ministre du cadre de vie, José Didier TONATO. Les avocats de Romaric BOCO avaient demandé la libération provisoire de leur client pour des raisons de santé. Les conseillers du prévenu ont mentionné des rendez-vous pour des scanners et des traitements à l’étranger. A l’audience ce lundi 6 Mai 2024, le ministère public ayant accepté la demande de mise en liberté provisoire de Romaric BOCO sollicité par son avocat, le juge en charge du dossier le lui a accordé contre une caution de 2 millions de Fcfa.

Election présidentielle au Tchad : un électeur tué dans un bureau de vote et des irrégularités enregistrées

Les Tchadiens aux urnes ce lundi 06 MAI pour mettre fin à trois ans de pouvoir militaire. Un électeur a été tué par une balle perdue tirée par un “inconnu” lors d’une “altercation” dans un bureau de vote à Moundou au sud du pays. Alors qu’il remplissait son devoir de citoyenneté en répondant présent à la convocation du corps électoral Neratar Enock, l’un des 8,2 millions d’électeurs enregistrés au Tchad, ne connaitra jamais l’issue de l’élection présidentielle opposant 10 candidats. Le citoyen est tombé, sa carte électorale à la main. L’agresseur faisait partie d’un groupe de personnes qui réclamaient le droit de voter dans un bureau de Moundou. “Dans l’altercation ‘’, l’un d’entre eux, un inconnu qui s’était vu refuser le droit de voter en l’absence de carte d’électeur, a ouvert le feu de manière indiscriminée, voulant intimider les membres du bureau de vote”. La balle a atteint un électeur âgé de 65 ans, qui venait juste de voter et qui sortait. Il est mort sur le coup”. Une information confirmée par Ousmane Houzibé, chef de mission de l’Agence nationale de gestion des élections (ANGE) dans le sud aux médias internationaux. Selon ces mêmes medias hormis cet incident on note également Plusieurs bureaux de vote qui sont restés fermés jusque vers la fin de la matinée alors qu’ils sont censés ouvrir les portes à 6heures du matin. La raison évoquée était l’absence de matériel électoral dans ces espaces. Une situation qui aurait provoqué la colère de certains électeurs. Ils ont entrepris de faire entendre leur mécontentement auprès des représentants locaux de l’administration. Les autorités n’ont pas encore fourni plus de détails à ce sujet. LES OBSERVATEURS S’INTERROGENT… Certains observateurs de l’opposition ont dénoncé ce qu’ils décrivent comme des irrégularités dans le processus de vote de l’élection présidentielle au Tchad. Dans un bureau de vote du 7ème arrondissement de la capitale, N’Djamena, un observateur électoral du Parti du Transformateur, parti d’opposition, s’est interrogé sur les registres des bulletins de vote et sur le déroulement du scrutin. « Le nombre d’électeurs inscrits ici est de 226… Mais l’ANGE [organisme électoral] n’a remis que 156 bulletins de vote. Où sont les 70 bulletins restants ? », s’est interrogé Gauthier Saldnba, ajoutant qu’”il y a un problème ici”. Aussi, les électeurs qui s’étaient inscrits dans d’autres régions que N’Djamena n’ont pas été autorisés à voter dans les centres de vote de la capitale. Les responsables électoraux ont déclaré qu’ils respectaient le code électoral. Malgré ces incidents, les résultats provisoires du premier tour sont attendus pour le 21 mai et un éventuel second tour le 22 juin si aucun des candidats n’obtient plus de 50 % des suffrages.

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Elections de Bassirou Diomaye Faye : Les félicitations de Patrice Talon

Patrice TALON, Président de la république du Bénin a adressé hier ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye à l’instar de plusieurs d’autres de ses pairs. “J’adresse mes chaleureuses félicitations au Président Bassirou Diomaye FAYE pour son élection”. C’est en ces termes que le chef de l’Etat Patrice Talon a exprimé ses félicitations à Bassirou Diomaye Fayé, annoncé vainqueur après le premier tour des présidentielles au Sénégal, le Dimanche 24 mars 2024. Ses félicitations du président de la république font suite à celles d’autres présidents notamment Umaro Embalo de la Guinée-Bissau et Mamady Doumbouya de la Guinée. Le président béninois en a aussi profité pour souhaiter ses « vœux de réussite au service du Peuple sénégalais » à celui qui longtemps était resté dans l’ombre de Ousmane Sonko. Rappelons que Amadou Ba, candidat de la coalition au pouvoir et principal challenger de Bassirou Diomaye Fayé et le président sortant Macky Sall ont également adressé leurs félicitations au Candidat élu selon les tendances, les résultats officiels étant toujours attendus.

Bénin : 3ème édition du Festival International de Films deS Femmes de Cotonou (FIFF-Cotonou)

14 pays en compétition pour l’édition 2024 du Festival International de Films de Femmes de Cotonou. 18 films sont en lice pour remporter les cinq (05) trophées de cette troisième édition qui se tiendra du 20 au 24 février 2024 à Cotonou. « Le cinéma féminin pour plus de sororité », c’est le thème sous le thème est placé l’édition 2024 du Festival International de Films de Femmes de Cotonou prévu se tenir du 20 au 24 Février 2024 à Cotonou. Ce Festival de Cinéma créé en 2019 est une biannuelle qui met en valeur les femmes cinéastes africaines est une initiative de la réalisatrice et militante des droits des femmes, Cornélia Glèlè. Selon elle, le FIFF Cotonou s’érige en une plateforme essentielle pour la promotion de l’égalité des genres à travers le 7ème art en donnant voix et visibilité aux réalisatrices. Le jury de cette édition marrainée par la productrice et réalisatrice Togolaise, Angela Aquereburu Rabatel, est composée de l’actrice et comédienne, Sophie METINHOUE du Bénin, l’acteur Michel BOHIRI de la Côte d’Ivoire, la cinéaste Matamba  KOMBILA du Gabon et Simon MOUTAÏROU, scénariste, réalisateur et producteur franco-béninois. Ce jury sera présidé par la journaliste et réalisatrice française Liz Gomis. Les 18 films en lice qui seront bientôt connus, vont tenter de remporter les 5 trophées du FIFF Cotonou notamment :

ONU : 68ème session de la Commission de la Condition de la Femme

La 68ème session de la Commission de la Condition de la Femme de l’Organisation des Nations Unies va se tenir du 11 au 22 mars 2024. Cette session est axée sous le thème de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars 2024. La Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW), le principal organe intergouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes va se réunir en session ordinaire du 11 au 22 mars 2024 sous le thème “Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme” avec pour thème prioritaire : accélérer la réalisation de l’égalité entre les hommes et les femmes et l’autonomisation de toutes les femmes et filles en s’attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective d’égalité entre les hommes et les femmes. Qu’est-ce que la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW)? La CSW est une commission fonctionnelle du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) créée par la résolution 11 du Conseil du 21 juin 1946. Elle joue un rôle primordial dans la promotion des droits des femmes et reflète la réalité vécue par les femmes dans le monde entier et contribue à l’établissement des normes mondiales relatives à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. En 1996, dans sa résolution 1996/6, le Conseil économique et social des Nations Unies a élargi le mandat de la Commission et décidé que celle-ci devrait jouer un rôle de premier plan dans le suivi et l’évaluation des progrès réalisés et des problèmes rencontrés lors de la mise en œuvre de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing ainsi que dans l’intégration d’une perspective de genre dans les activités des Nations Unies. Au cours de la session annuelle de la Commission, qui dure deux semaines, les représentants des États membres des Nations Unies, d’organisations de la société civile et d’entités des Nations Unies se réunissent au siège de l’ONU à New York. Ils évaluent les progrès réalisés et les écarts à combler dans la mise en œuvre de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing de 1995, un document de référence en matière de lutte pour l’égalité des sexes à l’échelle internationale et la 23e session extraordinaire de l’Assemblée générale qui s’est tenue en 2000, ainsi que les nouveaux enjeux qui touchent l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes. Les États membres conviennent des mesures à adopter pour accélérer les progrès et promouvoir la pleine jouissance par les femmes de leurs droits politiques, économiques et sociaux. Les conclusions et les recommandations de chaque session sont transmises à l’ECOSOC afin qu’il en assure le suivi. Rappelons que le Conseil des ministres du Bénin  Il a été autorisé la  le 14 février dernier, la participation du Bénin, à la 68ème session de la Commission de la Condition de la Femme du 10 au 17 mars 2024, à New York, aux États-Unis d’Amérique.

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